La thématique
Les grands monuments de la Préhistoire et de l’Antiquité
Lascaux, Stonehenge, les grandes pyramides, la Tour de Babel, le Parthénon, le Colisée, la Grande Muraille de Chine, le Machu Picchu, le Grand Zimbabwe… : ces noms font rêver car ils sont nos portes d’entrée sur des civilisations dont la grandeur disparue fascine encore. Ces grands monuments sont des repères spectaculaires qui nous permettent de nous projeter dans le passé en admirant les prouesses techniques et esthétiques de nos ancêtres. Mais que savons-nous réellement d’eux ?
Les grands monuments furent les objets les plus évidents à étudier pour les archéologues du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ceux comme Stonehenge, qui étaient encore là dans le paysage comme une étrange évidence, furent interrogés pour être compris et datés. D’autres, mythiques, firent l’objet de recherches en bonne et due forme. Pour d’autres enfin, le hasard fit son oeuvre. Malgré l’ancienneté des travaux, la recherche archéologique se poursuit car ces grands monuments ont tant de choses à dire sur les sociétés qui les ont bâtis. Ils nous permettent de jeter un regard sur leur technologie, leur rapport à l’au-delà et la mort, leur économie, leur organisation sociale et politique… Quelles sont les avancées scientifiques les plus spectaculaires les concernant ?
Beaucoup de ces grands monuments, comme les grandes pyramides, n’ont jamais été soustraits au regard des Hommes. D’autres ont été effacés par le temps ou la soif de destruction des conquérants. D’autres enfin ont ressurgi grâce à des découvertes fortuites ou des recherches acharnées. Quel que soit leur destin, ils partagent tous une histoire, celle de la construction du regard que nous, Hommes du XXIe siècle, posons dessus. Comment se construit ce statut de « grand monument » ?
Les scientifiques invités à la 2e édition des Printemps de l’Archéologie répondront à ces questions et à celles que le public voudra bien leur poser. Ces conférenciers sont des archéologues articulant travail de terrain, travail de laboratoire et réflexion derrière le bureau. Mais ils ont tous en commun le goût du partage : pour eux, les résultats de leurs travaux ne servent que si le plus grand nombre peut s’en emparer.
Ne ratez pas la chance de les rencontrer et d’approfondir vos connaissances des monuments mythiques qui traversent l’histoire.
Objectifs de la 2e édition
De nouvelles dimensions sont apportées par rapport à la première édition : l’arrivée d’une dimension littéraire avec un salon du livre archéologique, le développement du volet numérique et une exposition de photos.
Le festival cherche à montrer les grands monuments de la Préhistoire et de l’Antiquité sous différentes formes notamment en 3D.
Les Printemps de l’Archéologie de Saint-Dizier permettront donc :
- d’accroître l’engouement des festivaliers pour le patrimoine archéologique, qu’il soit local, national ou international
- de faire de Saint-Dizier un lieu de rencontres régulier pour tous les amoureux de
l’archéologie, qu’ils soient professionnels ou amateurs - de permettre aux élèves et à leurs enseignants d’enrichir leurs connaissances du passé.
1 thématique majeure
- Les grands monuments de la Préhistoire et de l’Antiquité
4 modalités de présentation
- Cinéma : projection de films documentaires
- Rencontres scientifiques avec le grand public
- Reconstitution et archéologie expérimentale
- Librairie, exposition photos